20/08/2025
J'ai perçu il y a quelques mois l'angoisse comme un mur du son à franchir, au-delà duquel la tempête se calme. Je maintiens ceci.
Mais ma réflexion d'hier me laisse entendre que ce mur, en l'angoisse si je l'appréhende bien, se fait porte, me permettant, si je me calme l'animal terrorisé que devient mon inconscient, un accès privilégié à moi-même.
Ma dyslexie serait alors à mettre en œuvre en me parlant ainsi à moi-même : « Tu as ici peur non de l'extérieur mais de toi, de toi que tu crois incapable de faire face alors que tu sais très bien le faire ; regarde bien ton angoisse, c'est juste la parole inversée de ton désir ; ta peur de la mort est ton désir de mort masqué ; vois ce que tu veux en faire, puis pilote ! Fonce ! Tu sais ! »